Comme tout bon collectionneur déjanté qui se respecte, nous ne sommes pas à court de projets...
Nous sommes toujours à la recherche de la remorque ponton illustrée ci-dessous.
Toute information sur une remorque en vente, en décomposition, à donner (!? :-), ... serait la bienvenue.
laissez nous un message ou un mail à : melsha1998@yahoo.com
Avec le bateau, c'est un must !!!
mardi 28 février 2012
dimanche 26 février 2012
Le pare-choc de la remorque
Le pare-choc a été démonté et avec celui-ci, le crochet de remorquage.
Il a fallu 5 tonnes de pression pour décoller le crochet du tube qui le maintenait encore en place.
Une fois mis à nu, il faut redresser le côté plié. La presse se révèle à nouveau bien utile pour cette tâche.
Les grandes découpes peuvent alors être rebouchées avec de nouvelles tôles.
Le résultat est très satisfaisant. Il faudra le sabler et le mastiquer légèrement pour faire disparaître les petits défauts.
Le pare-choc, comme il était avant restauration, le côté gauche est fortement plié et un premier essai au crick à-même la remorque n'avait pas donné de résultat satisfaisant
Sous presse...
Il faut le contraindre au-delà de l'horizontal pour qu'il conserve une position correcte.
Deux tôles sont découpées pour combler les ouvertures
Mise en place pour la soudure
Mission accomplie, reposé à blanc, l'ensemble a bonne allure et a retrouvé sa configuration d'origine.
Il a fallu 5 tonnes de pression pour décoller le crochet du tube qui le maintenait encore en place.
Une fois mis à nu, il faut redresser le côté plié. La presse se révèle à nouveau bien utile pour cette tâche.
Les grandes découpes peuvent alors être rebouchées avec de nouvelles tôles.
Le résultat est très satisfaisant. Il faudra le sabler et le mastiquer légèrement pour faire disparaître les petits défauts.
Le pare-choc, comme il était avant restauration, le côté gauche est fortement plié et un premier essai au crick à-même la remorque n'avait pas donné de résultat satisfaisant
Sous presse...
Il faut le contraindre au-delà de l'horizontal pour qu'il conserve une position correcte.
Mise en place pour la soudure
Mission accomplie, reposé à blanc, l'ensemble a bonne allure et a retrouvé sa configuration d'origine.
dimanche 19 février 2012
Tôlerie sur la remorque
Journée improvisée...
Quel est le meilleur moyen de sortir une bosse dans une carrosserie dont nous n'avons pas accès à l'intérieur ?
Système D comme d'hab.
Plusieurs théories...
Mais celle retenue s'est avérée payante du 1er coup.
Par la même occasion, quelques tôles pliées sont redressées.
Le temps de préparer le matériel et quelques écrous sont défaits. Une fois de plus comme si ils avaient été vissés hier... Une roue, les anneaux arrières et une partie du pare-choc. Le crochet de remorquage en revanche est bien grippé
On met la bête au chaud...
Système Ardennais à breveter
La bosse dans le panneau avant, pas bien méchante mais pas esthétique du tout
On soude une patte préalablement équipée d'un crochet
On y accroche un palan, l'autre extrémité étant attachée au mat du clark. afin de maintenir celui-ci à distance, les fourche sont posées contre la remorque. Deux trois petits coups sur la chaîne et le tour est joué.
Fort de notre succès, on s'attaque aux autres parties défoncées. Pour commencer, le dessus.
Avec un résultat honorable. Evidemment, il aura fallu quelques coups de masses bien placés pour la finition
L'avant droit va subir le même traitement avec succès
Une petite finition au mastique sera nécessaire pour les derniers défauts
Pour l'avant gauche en revanche, ce sera plus délicat, la tôle est recroquevillée à l'intérieur. Notre système s'est avéré peu efficace
Fin du premier traitement, pas flagrant et pourtant indispensable car une fois peinte en kaki, tous les défauts ressortiront au grand jour.
Quel est le meilleur moyen de sortir une bosse dans une carrosserie dont nous n'avons pas accès à l'intérieur ?
Système D comme d'hab.
Plusieurs théories...
Mais celle retenue s'est avérée payante du 1er coup.
Par la même occasion, quelques tôles pliées sont redressées.
Le temps de préparer le matériel et quelques écrous sont défaits. Une fois de plus comme si ils avaient été vissés hier... Une roue, les anneaux arrières et une partie du pare-choc. Le crochet de remorquage en revanche est bien grippé
On met la bête au chaud...
La bosse dans le panneau avant, pas bien méchante mais pas esthétique du tout
On soude une patte préalablement équipée d'un crochet
On y accroche un palan, l'autre extrémité étant attachée au mat du clark. afin de maintenir celui-ci à distance, les fourche sont posées contre la remorque. Deux trois petits coups sur la chaîne et le tour est joué.
Fort de notre succès, on s'attaque aux autres parties défoncées. Pour commencer, le dessus.
Avec un résultat honorable. Evidemment, il aura fallu quelques coups de masses bien placés pour la finition
L'avant droit va subir le même traitement avec succès
Une petite finition au mastique sera nécessaire pour les derniers défauts
Pour l'avant gauche en revanche, ce sera plus délicat, la tôle est recroquevillée à l'intérieur. Notre système s'est avéré peu efficace
Fin du premier traitement, pas flagrant et pourtant indispensable car une fois peinte en kaki, tous les défauts ressortiront au grand jour.
dimanche 5 février 2012
Un problème, une solution !
Le problème de démarrage est résolu.
Vérification de la piste évoquée ce week-end concernant la fermeture de la prise d'air.
Effectivement, les deux supports de câbles choke et gaz à mains sont différents sur les deux carburateurs et nécessitaient des réglages différents ce qui n'avait pas été le cas.
Ainsi, lorsque le choke est tiré au tableau de bord, le clapet n'est pas complètement fermé dans le carbu. Dès lors impossible de démarrer ce moteur délicat.
Une fois la course correctement réglée, le camion démarre au 1er coup sans Start Pilot.
Voilà une panne résolue, il y en a d'autres...
Vérification de la piste évoquée ce week-end concernant la fermeture de la prise d'air.
Effectivement, les deux supports de câbles choke et gaz à mains sont différents sur les deux carburateurs et nécessitaient des réglages différents ce qui n'avait pas été le cas.
Ainsi, lorsque le choke est tiré au tableau de bord, le clapet n'est pas complètement fermé dans le carbu. Dès lors impossible de démarrer ce moteur délicat.
Une fois la course correctement réglée, le camion démarre au 1er coup sans Start Pilot.
Voilà une panne résolue, il y en a d'autres...
Winter Rally du BMVT à Houffalize
Bon, nous y voilà...
8h du matin et -18 °
Toujours impossible de démarrer le camion sans Start Pilot... Démarrage, sortie, on laisse chauffer le moteur... pas facile. On arrive à peine à 160° contre les 180 habituels.
Dès que nous démarrons, elle redescend à 140 et parfois encore plus bas.
Nous lui avons confectionné une petite couverture de radiateur qui doit empêcher l'air frais de rentrer en masse et laisser ainsi l'eau chauffer. Ce ne sera pas suffisant.
On démarre et les 50 km qui nous séparent d'Houffalize sont avalés dans la plus grande confiance. Il se comporte magnifiquement.
Sur les hauteurs d'Houffalize, les -18 sont certainement passés à -20° car nous-mêmes commençons à geler, le visage pique et le bouts des doigts devient douloureux, heureusement nous sommes arrivés...
Nous renforçons la couverture par un carton glissé derrière, ce qui ne changera pas grand chose.
Départ en direction de La Gleize où la côte qui vient de Coo et mène au village du Tigre marquera le début de nouveaux ennuis : perte de puissance, pétarade et finalement calage. Une température qui monte instantanément à fonds de compteur, une pression d'huile qui, en revanche, dégringole et un bruit de moteur, complètement imbibé d'huile, qui cogne... dur-dur à encaisser.
Malgré les apparences, il redémarre et tourne à nouveau bien. On avance sur 200 m et rebelotte. L'équipage de deux GMC nous propose leur aide pour tracter le camion jusqu'au musée, nous n'en n'aurons pas besoin mais merci à eux pour ce super esprit d'équipe !
Nouvelles recherches... deux causes possibles sont estimées : une prise d'air dans la ligne d'essence qui désamorce à haut régime ou une crasse dans le carburateur. Pourtant, il a affronté des côtes sans problème deux heures plus tôt. Pfff, c'est pénible...
Quoi qu'il en soit c'est l'occasion de discuter avec d'autres passionnés dont un habitant de La Roche qui vient de terminer la restauration d'un Inter qui présente exactement le même problème au démarrage, sans toutefois apporter de réponse. Ce problème serait quant à lui du à un choke mal fermé.
Nous faisons un appoint de deux litres d'huile et décidons de prendre le chemin du retour avec arrêt à Coo pour manger un morceau en compagnie du Gros et de Willy et Céline.
Le retour sera ponctué de plusieurs pannes successives. Nous revenons sans trop dépasser 1500 tours minutes, régime n'appelant pas une grosse quantité d'essence.
8h15, Sortie du frigo pour le congélateur !
Les petites routes bien calmes d'un samedi matin, superbes paysages
Petite pause photo un peu avant Manhay, tout baigne...
Sur le parking d'Ol Foss d'Outh, hôtel réquisitionné par le BMVT pour accueillir ses participants. Beaucoup auront besoin d'assistance pour démarrer les engins ayant passé la nuit dehors.
Le GMC de Philippe Jowick prêt à se lancer sur les routes ardennaises
Une ballade superbe...
Un Corbitt passe à toute allure devant nous. Superbe camion mais manifestement équipé d'un moteur multifuel crachant d'abominables volutes de fumée noire par le dessus de la cabine, dommage...
Garé le long de l'école de La Gleize à deux pas du chat Tigre. Nous avons rajouté un carton derrière la couverture de calandre afin de réduire la prise d'air glacial.
Réglage de la tête de distribution.
8h du matin et -18 °
Toujours impossible de démarrer le camion sans Start Pilot... Démarrage, sortie, on laisse chauffer le moteur... pas facile. On arrive à peine à 160° contre les 180 habituels.
Dès que nous démarrons, elle redescend à 140 et parfois encore plus bas.
Nous lui avons confectionné une petite couverture de radiateur qui doit empêcher l'air frais de rentrer en masse et laisser ainsi l'eau chauffer. Ce ne sera pas suffisant.
On démarre et les 50 km qui nous séparent d'Houffalize sont avalés dans la plus grande confiance. Il se comporte magnifiquement.
Sur les hauteurs d'Houffalize, les -18 sont certainement passés à -20° car nous-mêmes commençons à geler, le visage pique et le bouts des doigts devient douloureux, heureusement nous sommes arrivés...
Nous renforçons la couverture par un carton glissé derrière, ce qui ne changera pas grand chose.
Départ en direction de La Gleize où la côte qui vient de Coo et mène au village du Tigre marquera le début de nouveaux ennuis : perte de puissance, pétarade et finalement calage. Une température qui monte instantanément à fonds de compteur, une pression d'huile qui, en revanche, dégringole et un bruit de moteur, complètement imbibé d'huile, qui cogne... dur-dur à encaisser.
Malgré les apparences, il redémarre et tourne à nouveau bien. On avance sur 200 m et rebelotte. L'équipage de deux GMC nous propose leur aide pour tracter le camion jusqu'au musée, nous n'en n'aurons pas besoin mais merci à eux pour ce super esprit d'équipe !
Nouvelles recherches... deux causes possibles sont estimées : une prise d'air dans la ligne d'essence qui désamorce à haut régime ou une crasse dans le carburateur. Pourtant, il a affronté des côtes sans problème deux heures plus tôt. Pfff, c'est pénible...
Quoi qu'il en soit c'est l'occasion de discuter avec d'autres passionnés dont un habitant de La Roche qui vient de terminer la restauration d'un Inter qui présente exactement le même problème au démarrage, sans toutefois apporter de réponse. Ce problème serait quant à lui du à un choke mal fermé.
Nous faisons un appoint de deux litres d'huile et décidons de prendre le chemin du retour avec arrêt à Coo pour manger un morceau en compagnie du Gros et de Willy et Céline.
Le retour sera ponctué de plusieurs pannes successives. Nous revenons sans trop dépasser 1500 tours minutes, régime n'appelant pas une grosse quantité d'essence.
8h15, Sortie du frigo pour le congélateur !
Les petites routes bien calmes d'un samedi matin, superbes paysages
Petite pause photo un peu avant Manhay, tout baigne...
Sur le parking d'Ol Foss d'Outh, hôtel réquisitionné par le BMVT pour accueillir ses participants. Beaucoup auront besoin d'assistance pour démarrer les engins ayant passé la nuit dehors.
Le GMC de Philippe Jowick prêt à se lancer sur les routes ardennaises
Une ballade superbe...
Un Corbitt passe à toute allure devant nous. Superbe camion mais manifestement équipé d'un moteur multifuel crachant d'abominables volutes de fumée noire par le dessus de la cabine, dommage...
Garé le long de l'école de La Gleize à deux pas du chat Tigre. Nous avons rajouté un carton derrière la couverture de calandre afin de réduire la prise d'air glacial.
Réglage de la tête de distribution.
nouveaux réglages et préparatifs
Toujours et encore des réglages...
Notre dernière ballade d'essai nous avait laissé sur une impression de presque parfait. Mais le lendemain, à deux jours du départ au Winter Rally, impossible de démarrer le camion...
On aura tout vu.
Rien à faire, il ne tousse même pas.
Une dose de Start Pilot et hop, démarrage au quart de tour, régime impeccable, arrêt du moteur et nouveau démarrage au quart de tour ! incroyable, c'est désespérant... On se dit qu'il était noyé
Nouveau démontage du carburateur, réglage du flotteur (qui, normalement devait être OK), remplacement des joints du décanteur et de la pompe à essence par de nouveaux en liège (ils pourraient occasionner une prise d'air).
Rien à faire...
On décide de partir quand même car une fois démarré, il tourne (presque) nikel...
De plus, il serait temps de faire notre première sortie digne de ce nom et de réaliser un test à grande échelle...
Le flotteur du carburateur qui, mal règlé pourrait être la source de "noyage" du moteur
Explication du TM pour le réglage optimal
Confection de nouveaux joints dans une feuille de liège
Le décanteur ouvert, le robinet d'arrêt n'est plus non plus de première jeunesse et pourraît laisser passer l'air, les filets sont recouverts de teflon
Bien que nous n'ayions toujours pas reçu les nouvelles bâches aux bonnes dimensions, il faut impérativement improviser un montage de celle en notre possession afin de nous garantir un minimum des températures glaciales actuelles. Confection rapide de l'armature des portières.
Les dimensions avant sont bonnes mais ça s'arrête là ! Ce sera toujours mieux que rien
Notre dernière ballade d'essai nous avait laissé sur une impression de presque parfait. Mais le lendemain, à deux jours du départ au Winter Rally, impossible de démarrer le camion...
On aura tout vu.
Rien à faire, il ne tousse même pas.
Une dose de Start Pilot et hop, démarrage au quart de tour, régime impeccable, arrêt du moteur et nouveau démarrage au quart de tour ! incroyable, c'est désespérant... On se dit qu'il était noyé
Nouveau démontage du carburateur, réglage du flotteur (qui, normalement devait être OK), remplacement des joints du décanteur et de la pompe à essence par de nouveaux en liège (ils pourraient occasionner une prise d'air).
Rien à faire...
On décide de partir quand même car une fois démarré, il tourne (presque) nikel...
De plus, il serait temps de faire notre première sortie digne de ce nom et de réaliser un test à grande échelle...
Le flotteur du carburateur qui, mal règlé pourrait être la source de "noyage" du moteur
Explication du TM pour le réglage optimal
Confection de nouveaux joints dans une feuille de liège
Le décanteur ouvert, le robinet d'arrêt n'est plus non plus de première jeunesse et pourraît laisser passer l'air, les filets sont recouverts de teflon
Bien que nous n'ayions toujours pas reçu les nouvelles bâches aux bonnes dimensions, il faut impérativement improviser un montage de celle en notre possession afin de nous garantir un minimum des températures glaciales actuelles. Confection rapide de l'armature des portières.
Les dimensions avant sont bonnes mais ça s'arrête là ! Ce sera toujours mieux que rien
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