Le samedi, une ballade était organisée dans la région.
Le départ fut un peu chaotique puisque le temps de manœuvrer pour sortir du camp, nous n'avions plus personne devant nous et pas de road book !
Heureusement, la population locale nous indique la route à suivre et nous retrouvons la colonne.
Le dîner nous fut servit de manière remarquable dans la salle des fêtes de l'Hôtel de Ville d'un grande bourgade dont le nom m'échappe.
La ballade se termine par le ballet nautique des engins amphibies.
Tout le monde prend place à bord du Diamond cargo
Eddy au volant et Marie-Paule en co-pilote. Le parcours nous emmène à travers bois sur un chemin des plus agréable
L'équipage du Dodge de Tim nous suit de près
Parmi les nombreux véhicules rassemblés sur la place lors du dîner, quelques exemplaires magnifiques, évidemment, l'Autocar d'Aubry et son interminable remorque C2 au chargement original et typique des routes Express
Un très beau M8
Un rare GMC à cabine avancée
Un imposant Mack NO
Un rare tracteur Fédéral en version tôlée
Petite pause au bistrot de la place sous un soleil de plomb
En route pour la seconde partie de la ballade
Un autre modèle peu courant du GMC en version citerne à eau
Et un autre en version Bolster, roues jumelées et bateau de pontage, juste superbe
Entre les traditionnels DUCKW, GPA et Schwim, quelques courageux ont opté pour l'originalité. Comme ces 4 braves embarqués dans un canot de pontage mû à la rame
Superbe reconstitution de franchissement avec ce radeau permettant le transport d'une jeep
La 101ème ne pouvait pas rester inactive. Le camion grue est utilisé pour mettre à l'eau le bateau de pontage. Il servira de dinghy à un équipage motivé
Tout le monde à bord !
Aaaah quand on est jeune, on a peur de rien
Il faut souquer ferme pour ramener l'embarcation
Certains jouent les prolongations...
Pendant ce temps, les moins jeunes restés au bord de l'eau se demandent quoi faire...
Ah ben voilà, on va embarquer la jeep du président Jojo dans le Duckw de Jérémy !
Pas de stress pour le chef. Le camion quant à lui ne sent pas la charge qu'il porte sur son dos